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Vers un nouveau départ….

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Enfin, vers un nouveau domaine:

www.sarahpisanu.com

Bonne lecture!

Written by Sarah Pisanu

25 août 2009 at 2 h 46 mi

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Global Voices Advocacy » Egypt: Three Bloggers Arrested On the Same Day

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Written by Sarah Pisanu

22 juillet 2009 at 22 h 31 mi

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Ça peut toujours être pratique…

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Written by Sarah Pisanu

19 juillet 2009 at 18 h 36 mi

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Crise du journalisme créée par… des journalistes?

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Written by Sarah Pisanu

15 juillet 2009 at 17 h 24 mi

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Untitled

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My twitter account is getting jealous of my facebook!!! Socialweb dilemma.

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Written by Sarah Pisanu

15 juillet 2009 at 2 h 35 mi

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Je suis accro aux TED Talks, et je veux que vous le deveniez aussi

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Written by Sarah Pisanu

13 juillet 2009 at 14 h 40 mi

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Get Smarter – The Atlantic (July/August 2009)

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If Google makes us smarter, then I’m becoming the female, combed Einstein.
http://www.theatlantic.com/doc/200907/intelligence

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Written by Sarah Pisanu

13 juillet 2009 at 1 h 53 mi

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Gratuitisme: ce post est gratuit et les mots que j’invente aussi

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freeQui, ici, aime les trucs gratuits? Qui va me répondre non?
C’est l’objet d’un article du New Yorker de cette semaine, « Priced to sell » par Malcom Gladwell, une intéressante étude sur le pouvoir du 0$, mais surtout un commentaire du livre de Chris Anderson, « Free : The Future of radical Price ». Prochain bouquin sur ma liste à lire.

Le milieu de l’information est particulièrement touché par cette vague de «gratuitisme», de l’Internet qui devient de plus en plus la source première d’information aux journaux gratuits distribués à la porte des stations de métro.

Si certains crient à la fin du journalisme professionnel, je préfère me questionner sur le changement de nature de l’information. D’un produit marchand, elle est peut-être plus perçue de nos jours comme un ensemble d’idée qui peut et doit voyager d’un interlocuteur à un autre sans barrière de prix. Comme ces chansons et ces poèmes qui faisaient l’Histoire à une autre époque, l’information prend son sens aujourd’hui dans la transmission plutôt que dans le produit même.

Cependant, la gratuité a-t-elle un prix? Je me demande comment il sera possible pour le consommateur de contrôler, à long terme, l’information qu’il veut et va recevoir. En plus, il faut bien que quelqu’un paie, quelque part. L’article du New Yorker présente le cas de YouTube: les administrateurs ont dû se rendre à l’évidence qu’il fallait trouver, et rapidement, une solution à ce problème. Voici un extrait de l’article :

«So how does YouTube bring in revenue? Well, it tries to sell advertisements alongside its videos. The problem is that the videos attracted by psychological Free—pirated material, cat videos, and other forms of user-generated content—are not the sort of thing that advertisers want to be associated with. In order to sell advertising, YouTube has had to buy the rights to professionally produced content, such as television shows and movies. Credit Suisse put the cost of those licenses in 2009 at roughly two hundred and sixty million dollars. For Anderson, YouTube illustrates the principle that Free removes the necessity of aesthetic judgment. (As he puts it, YouTube proves that “crap is in the eye of the beholder.”) But, in order to make money, YouTube has been obliged to pay for programs that aren’t crap. To recap: YouTube is a great example of Free, except that Free technology ends up not being Free because of the way consumers respond to Free, fatally compromising YouTube’s ability to make money around Free, and forcing it to retreat from the “abundance thinking” that lies at the heart of Free. Credit Suisse estimates that YouTube will lose close to half a billion dollars this year.»

Tout ne peut pas être gratuit. Certains auteurs/blogueurs ont réussi à faire de la gratuité leur moteur à lectorat et à bidou, la plus puissante forme de publicité qu’il soit. Je prends l’exemple de Leo Babauta, le créateur de Zen Habits et Write to Done, deux blogs hypers populaires qui font fréquemment les Tops 10 anglophones les plus lus. Il a réussi à rendre rentable ses blogs : l’auteur demande à ses lecteurs de financer ses projets, par des dons, en échange d’un site de qualité, renouvelé régulièrement, et (presque) sans pub. Il y a quand même un transfert d’argent quelque part!

Leo Babauta vend maintenant des ebooks et n’écrit que très rarement sur ses blogs. Au contraire, il invite d’autres blogueurs anglophones à participer aux sites ce qui les rend beaucoup plus intéressants (en plus d’offrir une sacré visibilité à ces autres auteurs). Il a réussi à se créer un fan base assez important pour vivre de sa «web-pige».

Comme quoi publier pour rien peut, éventuellement, rapporter gros.

Written by Sarah Pisanu

13 juillet 2009 at 1 h 17 mi

Publié dans Média

Lifestreaming or Lifekilling?

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Le problème, c’est qu’on ne sait pas tout à fait ce que l’on perd à essayer. Mais je me lance, à moitié…

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Written by Sarah Pisanu

12 juillet 2009 at 16 h 58 mi

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Encore du compost!

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Bon, j’ai eu des questions au sujet du lombricompost (ou vermicompost). Je vais tenter d’y répondre le plus clairement possible.

Il s’agit surtout d’une formule de compostage intérieur puisque les vers ne survivent pas à nos hivers. C’est donc une alternative, ou un complément, au composteur domestique que l’on connait, qui se garde sur le balcon ou au jardin.

Il y a des limites à ce qu’on peut donner aux vers: ceux-ci ne peuvent ingurgiter que l’équivalent de leur poids à chaque jour. Donc, pour un demi kilo de vers dans votre bac, seulement un demi kilo de résidus devront y être déposés. Le reste, au dépotoir.

Il est possible de se construire son propre lombricomposteur, avec une boîte de plastique dont le couvercle a été soigneusement mais minusculement perforé. Certains conseillent de perforer le socle, et de mettre un plateau de drainage sous la boîte. Cependant, à l’éco-quartier Côte-des-Neiges, point de chichi. On ajoutait aux résidus de fines déchirures de papier pour controler l’humidité. Une technique qui semblait bien fonctionner pour eux.

Et ne vous précipitez pas avec votre pelle au parc du coin: il ne s’agit pas de vers de terre communs, ceux qu’on accroche à l’hameçon et qui font la mort de nos poissons. On utilise pour le compost des vers rouges… et je ne peux vous en dire plus.

Pour plus d’info, Le Jardin Botanique de Montréal a concocté un petit résumé bien pratique. Cliquez sur l’image:

Picture 2

Et si vous voulez tout de suite passer à l’action, cette entreprise offre des « kits », des bacs, des vers… tout pour le joyeux écolo en vous. Des explications pratiques aussi.

Picture 3

Pour un peu d’expérience vécue, je vous propose un article de blog sur Jardin Eco.

Autres liens:

Vermicompostage, eco-quartier.ca
Worm Girl Montreal

Written by Sarah Pisanu

9 juillet 2009 at 17 h 02 mi

Publié dans Écologie

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